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vendredi 28 décembre 2012

CHASTETE DANS LE COUPLE



 « Chasteté conjugale ». 


Mais l’interrogation subsiste sous une autre forme. Dans la réalité, dans « le concret du vécu », comme on dit, est-elle vraiment possible ?


Si on interroge nos contemporains, et parmi eux, l’espèce des théologiens moralistes, on a quand même le sentiment que rares sont ceux qui y croient vraiment. Les uns continuent à jeter un voile pudique sur ces réalités qu’ils considèrent comme une sorte de triste concession à la nature humaine. Les autres s’obstinent à penser qu’il n’y a pas d’enjeux évangéliques essentiels en la matière. Oserais-t-on les qualifier de « ringards » ? 
Pourtant, c’est ce qui brûle les lèvres quand on lit le « vieux » saint François de Sales. Il y a 400 ans, à l’aube des temps modernes, ce maître avait déjà tout dit sur la question.


Introduction à la vie dévote, troisième partie Chapitres 38 et 39
Pour lui, le vrai moyen de vivre chastement le « saint Mariage » est de puiser à la source de tout amour, l’amour de Dieu lui-même, « un amour saint, tout sacré, tout divin ». De cet amour découleront tous les effets, et, au premier rang, « l’union indissoluble… du cœur, de l’affection et de l’amour », sans exclure bien entendu « l’union des corps ».


A partir de là, la chasteté devient possible dans le mariage, et saint François le montre avec le plus grand réalisme et la plus profonde délicatesse. En cultivant la fidélité, la tendresse (qu’il appelle « tendreté »), la pudeur (« pudicité »), le respect de la vocation propre de l’homme et de la femme," l’union indissoluble des cœurs » donnera à l’union des corps sa juste place.
Qu’il s’agisse d’un rude combat, d’un idéal à remettre tous les jours sur le métier, avec des avancements et des reculs, des chutes et des blessures, il ne l’ignore pas. C’est dans « un esprit martial et courageux », sans faiblesse ni aveuglement, qu’il invite les époux à se garder du péché, et par là de la sensualité, de la volupté, de ce qui s’oppose à la fin qu’il considère comme première du mariage, l’« engendrement des enfants ». Il ne cache pas non plus qu’un « esprit truand, vilain, abject et infâme », peut rendre la chose « détestable et abominable devant Dieu ».  Mais encore une fois, pour lui, lorsqu’il est inscrit dans la volonté de Dieu, « selon sa vocation », le « commerce nuptial » est « saint… juste… recommandable… et utile. »

Concluons avec lui en citant saint Augustin : « C’est le grand mal de l’homme de vouloir jouir des choses desquelles il doit seulement user, et de vouloir user de celles desquelles il doit seulement jouir ».

mercredi 19 décembre 2012

LA "SOLITUDE" DANS LE COUPLE


La solitude! Ce mot que nous n'aimons guère entendre, car il est synonyme de souffrance, de rejet et d'exclusion; il évoque la solitude de nos villes, la solitude du malade et du vieillard loin de sa famille... Toutes ces images médiatiques qui habitent notre vie ne nous ont pas appris à aimer la solitude.
Pourtant nous évoquons volontiers la solitude du moine, sans pour autant y associer la douleur, mais plutôt la paix. Car le moine, par définition, est seul ; monos, "seul devant Dieu et uni à tous". C'est ainsi que la Tradition chrétienne caractérisait la vie monastique. Dans cette solitude, le moine rencontre le Seigneur, apprend à se laisser aimer puis épouser par son Créateur en qui il trouve la source de la communion avec les hommes et l'univers entier.

Qu'en est-il dans la vie du couple ? Peut-on parler d'une solitude "bonne" ? N'est-elle pas le lieu d'incompréhension et d'isolement, de rupture de la communication entre deux êtres, d'un silence lourd d'amertume et de douloureux non-dits ?

Souvent, on se marie pour fuir l'insupportable solitude, car il est écrit : il n'est pas bon que l'homme soit seul . C'est pourquoi de jeunes mariés ne comprendront pas encore la valeur de la solitude dans le couple. Ils commenceront une vie commune que l'on peut synthétiser schématiquement en deux directions :
- soit avec une part d'indépendance importante entre les deux époux : chacun préserve son travail, sa voiture, ses propres activités... mais la communion profonde n'est pas atteinte parce que la distance qui les sépare l'un de l'autre est trop importante.
- soit au contraire en recherchant une union totale au quotidien; ils font tout ensemble, de la même façon, s'efforçant d'aimer les mêmes choses, d'avoir les mêmes goûts, recherchant les mêmes aspirations. On a appelé cette forme d'union conjugale la "lune de miel". Certes, c'est une étape importante de la construction du couple au cours de laquelle les deux époux se rapprochent l'un de l'autre et apprennent à se découvrir et à s'aimer. Mais ils n'ont pas encore traversé le conflit et découvert la richesse de leur différence, et leur relation tend plus vers la fusion que vers la communion, car la distance qui les sépare est partiellement ou totalement gommée.
Au fur et à mesure que les conjoints approfondissent leur amour mutuel et entrent dans cette intimité conjugale, source d'émerveillement, ils descendent aussi progressivement dans leurs blessures et rencontrent en l'autre le mystère de la personne, que l'on ne peut appréhender qu'en Dieu. Pour bien le comprendre, il nous faut entrer dans la pédagogie divine, car en Dieu il existe un espace de solitude qui se confond avec le mystère de l'existence personnelle.

mardi 18 décembre 2012

DIFFERENCE ENTRE LES HOMMES & FEMMES



Les 12 visages de l'amour – besoins primaires de la femme et de l'homme

La femme a d'abord besoin de…                   L'homme a d'abord besoin de…
                - attentions                                          - confiance
                - compréhension                                 - acceptation
                - respect                                                - appréciation
                - dévotion                                            - admiration
                -  que l'on avalise ses sentiments     - approbation
                - qu'on la rassure                                - encouragement
Savoir reconnaître et combler les besoins primaires de son conjoint..

Connaître nos différences pour mieux nous comprendre

Cause principale de conflit: non conscience de nos différences essentielles. Nous supposons à tort que dès lorsque notre partenaire nous aime, il aura les réactions et le comportement qui sont les nôtres lorsque nous aimons quelqu'un.
Très peu de personnes sont capables de faire croître leur amour. Lorsqu'un homme et une femme apprennent à se respecter mutuellement et à accepter leurs différences, alors leur amour peut atteindre leur plénitude.
  • Les différents systèmes de valeurs

La femme veut de la compréhension mais lui pense qu'elle veut des solutions.
Chez les hommes, les valeurs principales sont le pouvoir, la compétence, l'efficacité et la réussite. Chaque homme mesure sa valeur personnelle en fonction de son aptitude à obtenir des résultats.
Donner des conseils à un homme qu'il n'a pas sollicité équivaut à présumer qu'il ne sait pas ce qu'il faut faire, ou qu'il est incapable de le faire par lui-même.
Une expression favorite: "Ne touche à rien tant que ça marche".

Aux antipodes des valeurs masculines, les valeurs de la gente féminine sont fondées sur l'amour, la communication, la beauté et les rapports humains.
La valeur personnelle d'une femme se mesure à la qualité de ses sentiments et de ses relations avec les autres.
  • 2 erreurs les plus courantes dans les relations de couples:

* L'homme qui, pour consoler sa femme quand elle est bouleversée, se transforme en Monsieur Réponse-à-tout et, ce faisant lui propose des solutions qui heurtent sa sensibilité.
* La femme qui, dans son désir de perfectionner son mari, s'improvise comité d'amélioration du foyer et se permet de lui donner des conseils ou de critiquer ses actes sans y avoir été invitée.
- L'homme rentre dans sa caverne pour régler ses problèmes en trouvant une solution. Il en ressort alors soulagé et ravi.

Quand cela ne va pas, les Vénusiennes discutent ouvertement de leur problèmes entre elles. Elles cherchent un interlocuteur capable de les comprendre.
- Les hommes sont heureux et prêts à se surpasser quand ils sentent que l'on a besoin d'eux; les femmes quand elles se savent aimées. Se sentir inutile pour un homme est une mort lente.
- Ce qui se passe dans la tête d'une femme qui tombe amoureuse: elle vit dans un rêve.
Les angoisses et les doutes d'une femme s'estompent dès qu'elle se rappelle qu'elle mérite l'amour de son partenaire et que ce n'est pas une chose qu'elle doit gagner. Elle peut alors se détendre, donner moins, mais mieux, et recevoir davantage.
Franck Yapi

lundi 17 décembre 2012

coup de foudre

Le livre de Tite chapitre 2 verset 11 à 13 dit : " La grâce de Dieu, source de salut pour tous les hommes, s'est manifestée, nous enseignant à renoncer à l'impiété et aux convoitises de ce monde, pour vivre en ce siècle présent dans la réserve, la justice et la piété, attendant la bienheureuse espérance et l'Apparition de la gloire de notre grand Dieu et Sauveur, le Christ Jésus.

Est-ce que tu crois que Dieu peut te donner la force de vivre la chasteté conjugale et en parler à ton futur conjoint?

Préfères-tu encore rester avec Dieu qu'avec ton copain/ine?

Il y a trois caractéristiques au coup de foudre :
  pas de volonté (instinctif)
  pas d’effort
  on pense avoir atteint le sommet donc on n’a plus rien à construire ; on pense être déjà au 7ème ciel. Or l'’amour est loin de se limiter au simple sentiment, et on peut même poser des actes d’amour sans ressentir de sentiments.

Fiançailles vient du latin fides qui veut dire foi. Se fiancer est donc, étymologiquement, donner sa foi, sa parole, s’engager. Or, aujourd’hui, seuls 1% des jeunes qui se marient ont vécu de vraies fiançailles.
Mais de quoi parle-t-on? D’un rite suranné, rimant avec Versailles, de l’officialisation, vis-à-vis de la famille, d’une relation amoureuse, ou du seul vrai moyen, à redécouvrir, de bien se préparer au mariage ?
On n'essaie pas une personne humaine: ce serait la traiter comme une voiture ou une machine à laver. Est-ce que cela ferait plaisir à quelqu'un qui veut me faire un cadeau, que j'aille m'emparer de ce cadeau chez lui et en prendre possession avant que ce cadeau soit prêt et qu'Il ait eu la joie de me le donner directement? L'autre est comme un cadeau que Dieu me fait: la personne humaine n'est pas un bien que j'ai le droit de posséder à ma guise (pas même ma propre personne!); la personne que j'aime appartient d'abord à Dieu, et c'est Lui son Créateur et Sauveur qui me la confiera lors du Mariage.
Il ne s'agit pas d'informer Dieu de notre amour et de notre mariage, mais de Le reconnaître comme la Source absolue, et de se brancher sur cette source.


Franck YAPI

samedi 15 décembre 2012

Vivre ensemble avant de se marier, n'est-ce pas la meilleure façon de ne pas idéaliser l'autre?


Vivre ensemble avant de se marier, n'est-ce pas la meilleure façon de ne pas idéaliser l'autre?


Non. On continue de rêver. On conserve inconsciemment le désir de former un couple heureux et merveilleux, le rêve d'une famille unie. Et comme on ne l'a pas réalisé, on se dit: «Ce n'est pas avec lui». 
Mais comme on a créé des liens ensemble, on demeure dans une valse hésitation: «J'ai envie de le quitter puisqu'il me déçoit, mais j'y tiens quand même». En même temps, on continue à s'illusionner: «Dans deux ans, ça ira mieux».


Beaucoup de cohabitants me disent: «Ou va se marier, ça va s'arranger » Non, surtout pas! Le mariage n'est pas un garage: ça ne répare pas un couple qui va mal.

 Pourtant, les concubins vivent déjà comme s'ils étaient mariés?
Oui, mais avec une porte de sortie. Quelque part dans fournie, il y a cette idée que s'ils veulent partir, ils le peuvent. Si bien qu'on ne met pas "le paquet" pour s'adapter à l’autre. Or, ce qui fait un couple, c'est la volonté de durer.          

Ce «Si ça ne va pas, je m'en vais» inscrit dans l'inconscient est destructeur. Le couple est fragilisé dans son principe même. Il est destructeur aussi parce qu'au lieu d'affronter les problèmes, on va avoir tendance à les repousser, à les étouffer. Or, il n'y a pas de couples sans conflits, sans adaptation par le conflit. Alors, les conflits reportés font abcès pour crever plus tard, et là tout saute!
Comme J'aimerais qu'on fasse une étude sociologique et psychologique sur la cohabitation comme on l'a fait sur le mariage! On serait édifié. C'est vrai que le mariage a des limites, on les connaît depuis qu'il existe. Mais la cohabitation est souvent sous une apparente formule idéale, un "casse-gueule" qui fait d'énormes dégâts et crée beaucoup de déceptions.
        
La cohabitation piège l'amour?

Franck Yapi

L’Homme a l’initiative du don & La Femme est accueil du don


Adam donne d’abord un nom aux animaux, là il ne rencontre aucun être qui lui soit assorti. On en conclut que la personne est faite pour la personne, (quelle soit humaine ou divine), la communion d’amour n’est possible qu’entre les personnes.

Si la Femme est tirée de l’Homme (c’est-à-dire de la même humanité), ils sont tous deux image et ressemblance de Dieu. Cette "aide assortie" est tirée de sa vocation au don : sans la Femme, l’Homme ne peut pas ressembler à Dieu. Quand il voit Eve, Adam se dit : voici une personne avec laquelle je peux entrer en communion, enfin je peux entrer dans ma vraie vocation.

L’homme a d’abord été seul, il a donc besoin de solitude et de silence, il puise là sa capacité à se donner.
La Femme rappelle à l’Homme qu’il est fait pour la communion des personnes, pas que pour l’efficacité ! Elle a pour mission de l’aider à prendre confiance en lui, lui montrer qu’il est capable de donner, capable de relation, de communion. Ce n’est pas que dans le "faire" qu’il va se réaliser, mais aussi dans l’ "être", dans la relation.

La Femme est accueil du don
Le sacerdoce de la Femme, c’est la vie. Tout son corps est ordonné à la vie. Voila pourquoi tout ce qui blesse la vie blesse si profondément la Femme.
La maternité, inscrite dans le corps de la Femme, est l’expression de son don. C’est aussi vrai pour les femmes consacrées qui portent du fruit en accueillant le Christ comme époux.
Elle a une capacité d’accueil ; elle va pousser l’Homme au fond du don, au fond de ce qui l’habite, elle l’aide à se découvrir.
La Femme ne prend pas "la place de", mais c’est elle qui conseille, qui inspire l’Homme à se donner. Tous deux sont complémentaires.
L’Homme qui ne se laisse plus éclairer par son épouse mutile sa propre vocation et inversement.
La Femme est réceptacle de l’amour de Dieu, elle est contemplative par nature.
La Femme mariée (ou consacrée) doit d’abord se considérer comme épouse, l’enfant vient après.
Or dans la société d’aujourd’hui, c’est l’inverse : 45% des enfants naissent en dehors d’un engagement, d’une parole ; c’est quelque chose qui n’est pas respecté dans l’ordre de l’amour.
La Femme rappelle à l’Homme sa vocation de père. C’est dans le "oui" qu’ils se sont dit que naît l’enfant, il va pouvoir grandir dans cet amour.
La maternité est la réponse vivante de l’Amour de la Femme à l’Homme : don désintéressé d’elle-même. Tout est orienté dans la catégorie don désintéressé de soi, autrement on arrive à la manipulation, à la domination, à l’affrontement.
Cette œuvre de la maternité n’est pas spontanée. On apprend à devenir mère (ou père). L’amour n’est pas dans l’émotion, c’est dans la volonté. On n’est pas fait l’un pour l’autre, on se fait l’un à l’autre. Cela se construit. On découvre la maternité, la paternité au fur et à mesure.


Franck  YAPI

Mesdemoiselles, mesdemoiselles.... (2)

Et vous vous laisseriez épouser par un garçon qui ne sait pas ce qu’il veut dans la vie ?! Vous
vous laisseriez approcher, toucher, aimer par un garçon qui ne sait pas si demain
s’il ne va pas changer d’avis ?! Mais vous êtes inconscientes !

Je voudrai des garçons qui soient libres, qui soient libres ! C'est-à-dire qui
aient choisi leur vie, je veux ceci, c’est ça la liberté c’est de pouvoir dire je choisi
ceci. Qu’est ce que c’est qu’une fille, une jeune fille ? Qu’est ce que c’est qu’une
femme ? Qui est prête à dire oui ? Quelles sont les qualités d’une fille ?

Qu’est ce que c’est qu’une femme ? Si un homme c’est une capacité
d’amour pour se donner : l’homme est tout entier construit jusqu’en son corps
extérieur pour donner hors de lui-même, pour se donner. La femme c’est tout
l’inverse, elle est tout entière réalisée, toute entière faite et pensée par Dieu,
jusque dans son corps pour accueillir, pour recevoir et pour féconder au-dedans
avant de redonner.

Et avant que son ventre soit prêt, ses entrailles soient prêtes à enfanter en
fécondant le don de la vie il faut que son coeur soit prêt. « Y a-t-il de la place
dans son coeur ? » Est-ce que cette jeune fille a une vie intérieure ?

Franck YAPI

jeudi 13 décembre 2012

Mesdemoiselles, mesdemoiselles....


Mesdemoiselles, mesdemoiselles ne commencez à vous approchez
d’un garçon que quand il sait cirer ses chaussures, quand il sait faire son lit le matin.


Mesdemoiselles, mesdemoiselles c’est vous qui êtes responsables de la force des garçons. Soyez, soyez exigeantes avec eux…

Soyez exigeantes mais du coup c’est une exigence pour vous terrible, soyez
exigeantes pour les aider à dire non parce que pour apprendre à dire oui, il faut
apprendre à dire non d’abord.


Un homme est incapable de dire oui si d’abord il n’a pas dit non à ses envies,
pourquoi ? Parce que je suis pêcheur, parce que je suis un fils d’Adam, parce qu’il
y a en moi des concupiscences comme dit Saint Jean et Jean-Paul II en a parlé
beaucoup, il y a en moi des trucs qui me collent à la Terre et il faut que je dise non
à ces trucs là pour pouvoir oui un jour à quelque chose qui est plus grand. Qu’estce
qui va m’aider à ça ? Des filles qui sont droites, qui sont belles, qui sont pures mais c’est fantastique ça ! 

C’est fantastique des garçons qui aient, qui trouvent des filles qui sont exigeantes,
exigeantes avec eux pour qu’ils soient forts, première qualité ;
Deuxième qualité : que cela soit des garçons stables, qui savent ce qu’ils
veulent, qui ne changent pas d’avis comme de chemises, qui sont fixes sur une
route. Des garçons qui ne savent pas ce qu’ils veulent mais c’est épouvantable ! Ils
ne savent pas ce qu’ils veulent dans la vie, ils ne savent pas ce qu’ils veulent dans
leur métier, ils ne savent pas ce qu’ils veulent dans leur personnalité…

mercredi 12 décembre 2012

Qu’est ce que c’est que le péché ?



Qu’est ce que c’est que le péché ?

Le péché a consister précisément à vouloir quitter la relation de don réciproque pour s’occuper de soi-même plutôt que de l’autre. Satan a réussi à faire croire à
l’Homme et à la Femme que Dieu était un gêneur dans l’Amour. Et qu’il fallait
inventer l’amour soi-même, qu’il fallait inventer le bonheur soi-même. Satan a fait croire que les exigences que Dieu proposait à l’Homme, qui étaient en fait des exigences qui lui donnaient d’être lui-même, l’exigence d’un amour
échangé, que cette exigence là était une contrainte, et qu’il fallait se libérer de cette contrainte pour inventer soi-même.Et Satan a réussi à faire croire à l’homme et à la femme, à nos premiers parents, mais finalement à nous c’est la même chose, il a réussi à faire croire que Dieu, que l’Eglise, que les pères spirituels, que les gens qui disent la morale de l’Eglise sont des gêneurs, que les exigences sont des contraintes au lieu d’être des sources de libération. Une formule qui vaut ce qu’elle vaut, mais c’est pour
marquer les esprits : L’Homme et la Femme ont cru qu’ils pouvaient faire
l’amour, ils en sont morts. L’amour ne se fait pas, il se reçoit et s’échange, se
transmet et s’est alors qu’il porte la vie, c’est alors qu’il est fécond, c’est alors
qu’il est réellement à l’image de Dieu.
Non, l’amour ne se fait pas, on reçoit l’amour pour l’échanger, pour le transmettre à travers des gestes d’amour. On est dans le péché, le sentiment s’est emballé. Forcément la force qui nous tirait vers le haut, la force qui nous emportait vers en haut, nous l’avons quitter.Dans un monde dans le notre où on a systématiquement déraciné les piquets, les valeurs morales, les exigences morales de l’amour, enlever tous les poteaux indicateurs ; Chacun fait son bien et son mal comme il veut, chacun invente sa morale comme il veut, chacun fait ce qu’il veut comme il a envie. Ce qui est extraordinaire, c’est que dans ce monde où on a supprimé des repaires moraux, on n’a jamais été aussi culpabilisé qu’aujourd’hui

Franck Yapi 

L’homme et la femme dans la communion de leur amour (2)


« On est vraiment une personne humaine quand on est entré
dans le don réciproque de soi. » Un homme qui n’a pas encore fait le don de soi même
n’est pas encore tout à fait à l’image de Dieu, une femme qui n’a pas
encore fait le don d’elle-même, n’est pas encore tout à fait à l’image de Dieu.
Mais alors qu’est ce qu’on fait des consacrés qui sont tous seuls ? Mais ils ont fait le
don d’eux-mêmes ! D’une autre manière bien sur, mais ils ont fait le don d’eux mêmes
soit directement à Jésus, soit aussi avec l’Eglise pour les prêtres. Il y a une communion parce que le cœur est donné, on est entré dans cet échange, dans la
réciprocité, dans la relation réciproque d’amour, voilà ce que Dieu veut pour
l’homme et la femme.
Finalement, je voudrais que vous reteniez ceci comme première pancarte : Je suis
fait pour le face à face, c’est pour cela que je m’entraîne avec l’adoration
eucharistique, pour cela que j’entre dans ce face à face silencieux,
régulièrement, pour entrer dans Le face à face. Pour le moment, c’est vrai, nous
ne le voyions que dans la foi, cela demande des efforts, c’est difficile, mais c’est
pour m’habituer peu à peu à un don total, c'est-à-dire que moi je ne suis plus tout
entier que don. C'est-à-dire, tout entier tourné vers celui que j’aime, et pour que
la vie humaine soit comme une grande préparation à ce face à face, Dieu donne à
l’homme de vivre cela dans sa nature humaine. Finalement, voyez, l’homme à
l’image de Dieu, c’est que dans la nature humaine et corporelle, il est donné de
vivre ce don de vivre ce don réciproque, comme au dedans de Dieu.
C’est superbe, c’est magnifique… Manque de peau il y a le péché qui s’est mis là
dedans, le péché s’est mis la dedans et qu’est ce que ça fait le péché ? Ça à fait…
ça aurait pu, si Dieu n’était pas Dieu, faire capoter le projet d’amour de Dieu !

mardi 11 décembre 2012

L’homme et la femme dans la communion de leur amour



Dieu a créé l’homme à son image, à son image il le fit, dit la Genèse, Homme et
Femme, il les fit. Il a constitué entre eux deux une espèce de complémentarité.
L’Homme tout seul n’est pas encore à l’image de Dieu, la Femme toute seule n’est
pas encore à l’image de Dieu, c’est l’homme et la femme ensemble, c’est l’union
des deux qui est image de Dieu dans la perfection.
L’union des deux, la communion de l’Homme et de la Femme qui va jusqu’à cette
communion inouï, impensable et pourtant que Dieu a inventé de la communion des
corps. Cette communion dit Jean-Paul II, qui a osé des formules nouvelles, qui a
osé dire les choses avec les mots vrais, les mots justes, les mots qui vont jusqu’au
bout : « L’homme et la femme dans la communion de leur amour, c'est-à-dire,
l’homme et la femme unit dans la plénitude de la communion d’amour, sont
icônes de la communion des personnes divines » Vous vous rendez compte de ça
? C’est prodigieux ! 

mardi 13 novembre 2012

Femme Vertueuse



il y a plus d'hommes en prison et moins de femmes, plus de femme a l'église et moins d'hommes et si si les femmes étaient la solution pour changer le monde. 

une étude en suède a révélé que les entreprises où il y avaient plus de femmes dans l'administration sont les meilleurs. 

Le problème c'est que quand la femme a une responsabilité elle perd sa féminité et veut se faire un autre homme. 

Soyez simplement femme et le monde sera agréable vous n'êtes pas le sexe faible mais le sexe fort.


Franck YAPI

vendredi 26 octobre 2012

L’amour est-ce un mythe ou une réalité. ( 1ère Partie)


La vie en concubinage est la nouvelle forme de mariage mondaine, le mariage est sous certains cieux ouvert aux personnes de même sexe, la plus part des législations proposent une séparation par consentement libre. Les familles de plus en plus sont recomposées, des mères aujourd’hui jouent le rôle de père et de mère. Le mystérieux dessein de la sagesse divine que Jésus-Christ, le sauveur des hommes, devait accomplir sur terre, était de restaurer divinement par Lui et en Lui le monde, atteint d'une espèce de sénilité. Après avoir, au sixième jour de la création, formé l'homme du limon de la terre, et après avoir envoyé sur sa face le souffle de vie, Dieu voulut lui adjoindre une compagne, qu'il tira merveilleusement du flanc de l'homme endormi. En agissant ainsi, Dieu voulut, dans sa très haute providence, que ce couple fût l'origine naturelle de tous les hommes et qu'il servît à la propagation du genre humain et à sa conservation dans tous les temps par une série ininterrompue de générations.
Afin de répondre plus parfaitement aux très sages desseins de Dieu, cette union de l'homme et de la femme se présenta, dès ce temps-là, avec deux propriétés principales et nobles entre toutes, qui lui furent pour ainsi dire profondément imprimées et gravées, à savoir l'unité et la perpétuité. Selon l'affirmation qu'il fit aux Juifs et aux apôtres, le mariage, en vertu de son institution même, ne doit exister qu'entre deux personnes, c'est-à-dire entre l'homme et la femme : des deux il se forme comme une seule chair, et le lien nuptial est, de par la volonté de Dieu, si intimement et si fortement noué, qu'il n'est au pouvoir de personne de le délier ou de le rompre. L'homme s'attachera à son épouse, et ils seront deux en une seule chair. C'est pourquoi ils ne sont déjà plus deux, mais une seule chair. Que l'homme ne sépare donc point ce que Dieu a uni (Matth. XIX, 5-6).
Cette forme de mariage, si excellente et si élevée, commença peu à peu à se corrompre et à disparaître chez les peuples chrétiens. Le mot divorce ne fait pas partie de la lexicographie divine sur le mariage, il n’apparait qu’après la chute adamique. Toutes les nations semblent oublier plus ou moins la notion et la véritable origine du mariage. Des rites solennels, inventés selon le caprice des législateurs, fait attribuer aux femmes, ou bien le nom honorable d'épouse, ou bien le nom honteux de concubine. En outre, la polygamie, la polyandrie, le divorce furent cause que le lien nuptial se relâcha considérablement.
De plus il y a une extrême perturbation dans les droits et les devoirs mutuels des époux.

L’amour est-ce un mythe ou une réalité ? (Introduction)



Vénérable frères et sœurs dans le christ et en humanité, au regard de la dépréciation du sacrement de mariage et de l’amour galvaudé et piétiner par les hommes. Nombres de personnes s’interrogent sur l’amour. Un dicton peu connu nous enseigne que l’amour est comme une apparition tout le monde en parle mais peu de personne l’on réellement vu. L’amour est-ce un mythe ou une réalité.

samedi 20 octobre 2012

Homme et Femme se complètent


La femme parfaite a survécu. En fait, c'est la seule personne de cette histoire qui existe vraiment. Tout le monde sait bien que le Père Noël et l'homme parfait n'existent pas. Les femmes s'arrêtent de lire à partir d'ici, c'est la fin de la blague. Seuls, les hommes peuvent continuer. Donc, si le Père Noël n'existe pas, pas plus d'ailleurs que l'homme parfait, la femme devait forcément conduire... Ceci explique l'accident. moralité: la femme seule ne peut conduire sa vie seule elle a besoin d'un homme aussi imparfait qu'il soit homme et femme se compléte je prie pour tous les couples



L'abbé Franck Yapi